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Tim Rofessart

Architecte en développement et briseur d'œillères
There’s a crack in everything, that’s how the light gets in

Qu’est-ce qui fait de vous un bon coach ?

« Grâce à mon expérience du lean management, j’ai appris à tout remettre en question et à toujours chercher à faire mieux. Trop souvent, les personnes et les organisations sont paralysées dans leur quête de perfection. Or, ce n’est pas la perfection qui prime, mais l’état d’esprit qui consiste à vouloir progresser chaque jour. Comment puis-je faire mieux demain qu’aujourd’hui ? »

« Toute ma carrière est placée sous le signe de la créativité. Et ces idées créatives ne se concrétisent que si l’on enlève ses œillères et qu’on regarde les choses avec l’esprit ouvert. En tant que coach, j’aime faire sortir les gens de leur zone de confort et je mets l’accent sur des idées qui sortent du lot, qui nécessitent toujours un effort. »

Qui vous inspire ?

« Je suis inspiré par les personnes et les situations du quotidien. Par exemple, j’aime le regard plein de curiosité et d’audace que portent les jeunes enfants sur la vie. C’est un trait de caractère que l’on perd en grandissant. »

« J’admire aussi beaucoup les exploits d’athlètes dans des sports moins connus. Comme les coureurs d’ultramarathon qui, grâce à une motivation intérieure, font de lourds sacrifices par passion pour leur sport. »

« Enfin, j’admire les entrepreneurs créatifs qui refusent le statu quo et changent le monde avec leurs idées nouvelles, comme Phil Knight, Steve Jobs ou Elon Musk. »

Votre passion ?

« Le roller en ligne a toujours été ma passion. Pendant mon temps libre, j’enseigne aux futurs instructeurs en tant qu’initiator. En fait, ce mot est le fil conducteur de tout ce que je fais : initier, allumer l’étincelle chez les gens et leur faire suivre ensuite leur propre voie pour que cette étincelle débouche sur quelque chose de très beau. »

Le feedback le plus mémorable que vous ayez jamais reçu ?

« Un jour, on m’a recommandé d’aller encore plus loin dans les détails et d’approfondir les processus. En fin de compte, j’ai ignoré ce conseil. Je ne veux pas être un micro-manager qui connaît tous les processus dans les moindres détails. Ma force est de rassembler des professionnels et d’en faire un groupe solide. J’explique clairement quel est le plan et comment, ensemble, nous allons veiller à être plus avancés demain qu’aujourd’hui. »

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